Après l’arrivée des juifs d’Afrique du Nord dans les années 60, des familles décident de se réunir dans des domiciles privés pour célébrer les offices, puis se mettent en contact avec les résidents d’origine ashkénaze. Ensemble, ils constituent les premiers comités. Messieurs Pomper, Weill et Bittan organisent une collecte pour l’achat d’un terrain. Une petite construction fait un temps office de lieu de culte. La communauté étant en pleine croissance, un centre communautaire est enfin réalisé en 1986. Aujourd’hui, forte de plus de 200 familles, la synagogue organise des cours et des conférences en plus des offices réguliers.
Télécharger la liste mohalims faisant partie de l’AMF (Association des Mohalims français).
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