
Après les offices du matin, organisés en présence de tous les rabbanim présents, et le petit-déjeuner où tous les participants ont eu le plaisir de converser ensemble dans les salons privatisés du Sheraton, la matinée du lundi 7 juillet 2025 a donné lieu à deux nouvelles conférences et tables rondes captivantes.
La première conférence, qui a littéralement passionné l'assemblée avait pour thème "Comment la culture peut aider à la réparation du monde ?" et elle a été animée conjointement par Rachel Khan, actrice, écrivaine et essayiste et par Steve Suissa, producteur, réalisateur et metteur en scène.
Le second atelier de réflexion de la journée avait pour thème "La République et les Cultes, 120 ans après la loi de 1905" et il a pu bénéficier de la participation exceptionnelle de Parvine Lacombe, Cheffe du Bureau central des Cultes au Ministère de l’Intérieur et de Vincent Ploquin, Directeur adjoint du Service des libertés publiques et des affaires juridiques au Ministère de l’Intérieur.
À la suite de leur exposé, Vincent Ploquin et Parvine Lacombe ont pu en outre échanger de façon interactive avec les représentants communautaires présents sur de nombreux sujets et des questionnements qui se posent actuellement dans leurs différentes régions.
Après une pause déjeuner dans les salons privatisés de l'hôtel, l'après-midi a donné lieu à un nouveau temps fort, en extérieur cette fois-ci, avec une promenade culturelle autour du patrimoine juif de la ville de Nice, qui a permis aux participants de visiter la Grande synagogue de Nice, la Place Masséna, l’ancien ghetto juif, le Palais Lascaris et les monuments jouxtant le Château de Nice, en compagnie de nos deux conférenciers Serge Abisshira et Me Brigitte Tanauji.
Vint ensuite la soirée de gala de l'Université d'été du Judaïsme français, qui était organisée dans le cadre prestigieux du Palais de la Méditerranée en présence de la Ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations Aurore Bergé.
Le public a aussi pu assister à cette occasion à un concert privé de Benjamin Petrover intitulé "De Paris à Tel-Aviv", composé de standards de la chanson française et de la chanson israélienne.